" La cour d’appel lance une procédure judiciaire commune à l’encontre de plusieurs de ces personnalités
La Cour d’appel de Bamako accuse des chefs du Groupe de soutien à l’Islam et aux musulmans (Jnim) et des rebelles du Cadre stratégique permanent (CSP) de s’être associés « pour semer la terreur », dans un communiqué diffusé mardi 28 novembre, parcouru par la Rfi.
Cela suit la ligne de la Transition malienne, qui ne fait plus de distinction entre les djihadistes liés à Al-Qaeda et les rebelles issus des mouvements signataires de l’accord de paix de 2015.
A cet effet, la cour d’appel lance une procédure judiciaire commune à l’encontre de plusieurs de ces personnalités du CSP.